L’utilisation accrue du véhicule automobile comme moyen de transport urbain depuis la fin du siècle dernier produisit des complications telles que le réchauffement climatique, la pollution, et l’anéantissement des ressources naturelles (en particulier les réserves de pétrole)…
Nous pouvons résumer la situation en disant que plus un véhicule est lourd plus on a besoin d’énergie pour le déplacer et plus son impact sur l’environnement sera important. En augmentant la sécurité et le confort des véhicules, on augmente aussi le poids. Ainsi, les véhicules les plus luxueux sont souvent les plus polluants. La prise de conscience collective sur l’environnement et la récente crise liée à la flambée du prix du carburant ont convaincu les constructeurs automobiles à introduire des innovations écologiques dans leurs nouveaux modèles.
Voiture écologique dans les rues de Toronto, Canada – CC Ezlost
La voiture écologique peut se résumer ainsi : elle est moins lourde et elle consomme moins de pétrole (ou utilise des carburants non-polluants). Quelques concepteurs ajoutent aussi un autre critère : elle doit être 100% recyclable. C’est-à-dire, à la fin de son cycle de vie, toutes les composantes de la voiture écologique doivent être converties en des matériaux utiles pour la société. Le Salon de Francfort nous a donné l’opportunité d’entre-apercevoir les plus innovateurs des constructeurs automobiles mondiaux. On peut ainsi voir le Blue Will de Hyundai, véhicule hybride avec moteur essence et moteur électrique. Il y a aussi la Volkswagen L1, pesant que 380 kilos et avec un moteur hybride.