La croissance économique ne peut se concrétiser qu’à travers une cohésion de plusieurs facteurs notamment le capital humain, l’innovation technique et la R&D.
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La croissance économique et le facteur humain
La valorisation du capital humain à travers les secteurs de l’éducation et de la santé est primordiale. De même la recherche scientifique et le développement technologique combinés à une main-d’œuvre qualifiée ne peuvent que générer une production compétitive en termes de qualité et de cout qui se traduit par une croissance économique du pays.
Cette croissance est généralement mesurée par le PIB (produit intérieur brut), qui résulte de l’accumulation des valeurs ajoutées, et qui mesure la performance économique d’un pays. Néanmoins le PIB ou même le PNB (produit national brut), qui résulte du PIB en plus des inclus, les produits nets provenant de l’étranger ne prennent pas des aspects sociaux comme l’alphabétisation, la santé, entre autres. C’est pourquoi en 1990 le programme des Nations Unies pour le développement a créé un autre indicateur qui est le l’indice du développement humain. Alors que de récents agrégats sont édités tout récemment en rapport avec la sécurité et la soutenabilité écologique.
Si les efforts internationaux essaient d’inclure l’aspect humain, social et écologique en tant qu’indicateurs de la croissance ou le développement d’un pays, laisse planer le doute sur la possibilité de concilier la croissance économique et le développement durable à travers le facteur humain et écologique.
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La croissance économique et l’écologie
Jusque-là la croissance économique a été toujours condamnée d’être la principale cause des problèmes environnementaux. Ce qui ne peut être nié de bloc ! Cependant il ne faut pas renier les progrès techniques réalisés ou toujours encours pour adapter et adopter des énergies renouvelables, réduire les émissions des gaz à effet de serre, ou améliorer le quotidien des hommes en leur offrant un niveau de vie, qui varie entre les pays , certes, mais qui apporte des infrastructures sanitaires, routières et de télécommunications, ainsi que des usines et des structures génératrices d’emplois et de revenus qui n’existaient même pas il y a deux siècles.
N’oublions pas qu’en l’absence d’une croissance économique génératrice de richesses, le monde tombera dans la pénurie et on ne peut donc parler de développement durable. En plus l’optimisation de l’exploitation des ressources notamment naturelles offre l’opportunité de mieux gérer et préserver l’environnement et par ricochet l’homme qui au centre de cette sphère environnementale.
La jonction entre la croissance économique et le développement durable
On a souvent tendance a pensé que la croissance économique met en danger le développement durable, alors qu’elle est le principal facteur d’aboutir à un développement durable.
Avec un potentiel humain important capable d’innover et de créer on peut toujours assurer une croissance économique qui elle-même offre à l’homme la prospérité et le bien-être auquel il aspire c’est un cycle ou une chaine ininterrompue qui associe irrémédiablement le développement durable à la croissance économique.
Un autre regard à cette question serait poser les bases du bohneur national brut.
Pages à consulter :
Slow money, la finance durable
Les enjeux de développement durable
Enjeux de DD pour les entreprises
Écoquartiers et urbanisme durable
Urbanisme commercial et développement durable
Formations en environnement et développement durable
Différentes formations en développement durable
Mise en place d’un environnement durable
Le marketing durable et responsable
Le livret du développement durable
Investir dans le développement durable
Croissance et développement
Ministère de l’écologie et du développement durable
Le livret du développement durable
L’écologie urbaine
Arguments contre le développement durable
Le rôle de l’État dans le développement durable