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Arguments en faveur de la terre plate

Par Équipe Solidaire le 23 avril 2017 dans Ecologie

13

Pour quelqu’un qui a été éduqué depuis son enfance au modèle géodésique dominant de la Terre ronde, il peut paraître difficile d’admettre que la Terre puisse être plate. Pourtant, aussi bien les innombrables constatations empiriques que des dizaines d’expériences réalisées de par le monde ne laissent quasiment plus de doute quant à la solidité de ce dernier modèle. Nous passerons ici en revue quelques-uns des principaux arguments et preuves militant en faveur de ce modèle, lequel bat en brèche également le modèle héliocentrique de la science moderne.

« Mais pourquoi nous cacheraient-ils la terre plate??? » – La réponse à votre question se trouve ici

Horizon plat et fixe

1. Pour un observateur quelconque, l’horizon apparaît toujours plat, quelle que soit la direction où il regarde, et quelle que soit son altitude, abstraction faite des accidents de relief, bien sûr. Avec une supposée circonférence de 40.000 km du globe terrestre, on devrait voir l’horizon se courber au fur et à mesure qu’on prend de l’altitude. Or ceci n’est constaté qu’à travers les hublots des avions aux verres déformants ou les caméras de type Go Pro et autres lentilles fisheye dont use et abuse la NASA. En fait, avec des caméras ordinaires fixées à des ballons sonde amateurs, même des photos prises à partir de la stratosphère montrent toujours un horizon plat.

2. D’autre part, on constate que l’horizon se lève toujours au niveau des yeux, indépendamment de l’altitude. Ce ne serait certainement pas le cas si la Terre était ronde, car on devrait en principe baisser progressivement le regard ou l’objectif de la caméra, au fur et à mesure qu’on s’élève.

paturages de normandie France
Pâturages en Normandie – Photo Nicolas Raymond (Creative Commons)

Surfaces aqueuses planes

3. La mécanique des fluides voudrait qu’un liquide au repos ait toujours sa surface plane. C’est ce qu’on observe, par exemple, à la surface d’un lac par temps calme. Si donc la Terre était sphéroïdale et tournait à des vitesses et accélérations considérables, on ne pourrait jamais observer de telles surfaces plates, du fait de l’entraînement causé par ce supposé mouvement rotatif. Bien plus, on devrait observer des renflements d’eau massifs provoquant des inondations et des tsunamis continus, ou encore observer certains cours d’eau allant à l’encontre de leur écoulement naturel, c’est-à-dire de l’aval vers l’amont ! Or, rien de tout cela n’est constaté. Le simple bon sens voudrait que si les eaux des mers et des lacs restent planes, par temps calme, c’est tout simplement parce que la Terre est plate.

D’ailleurs, les capitaines des navires qui naviguent sur de grandes distances ne prennent jamais compte d’une éventuelle courbure dans leurs calculs. Bien au contraire, tous ces calculs sont basés sur la trigonométrie plane et non sphérique.

Expérience de Bedford Level

4. Si la Terre avait effectivement la forme d’une boule ayant un diamètre de près...





de 13.000 km, comme le prétend l’astronomie moderne, cela voudrait dire par exemple que la surface d’une eau stagnante serait courbée. Et avec de simples calculs trigonométriques, on pourrait montrer que cette courbure convexe s’abaisse de 8 pouces (environ 20 cm) sur un mile (environ 1,6 km), puis de 32 pouces sur 2 miles (80 cm sur 3,2 km), etc. Si bien que sur une distance de 11,3 km la dénivellation devrait être d’environ 10 m.

Or, c’est exactement l’expérience qu’a menée en 1838 un inventeur anglais du nom de Samuel Rowbotham. Ce dernier avait effectué une série d’observations sur un tronçon rectiligne du canal de Bedford Level (Norfolk) d’une longueur de 9,7 km. À l’extrémité de ce tronçon, il a établi un télescope à 20 cm au-dessus du niveau de l’eau afin d’observer un petit bateau sur lequel il avait fixé un drapeau à environ 0,91 m du niveau de l’eau. Le résultat de l’expérience était que Rowbotham continuait toujours de voir à travers le télescope le bateau lorsque celui-ci arrivait à l’autre bout du canal, alors qu’en principe il devait disparaître de son champ de vision, s’il y avait courbure.

Canal Bedford
Le canal Bedford – Photo par Mark (Creative Commons)

Lumière et chaleur du soleil

5. L’idée d’une Terre sphérique effectuant des mouvements de rotation autour d’elle-même, et de révolution autour d’un soleil situé à 150 millions de kilomètres, est difficilement soutenable pour un tas de raisons. D’abord, à une telle distance, les rayons du soleil devraient arriver quasiment parallèles. Or, on remarque souvent par temps légèrement couvert que les rayons qui passent à travers les nuages sont très divergents, ce qui amènerait à penser que la source lumineuse n’est pas si éloignée que ça : tout au plus quelques milliers de kilomètres.

Ensuite, lorsqu’on visionne en accéléré (time lapse) le mouvement du soleil dans le ciel, on voit clairement sa taille apparente augmenter graduellement depuis le lever jusqu’au midi, puis diminuer jusqu’au coucher. Ceci s’explique parfaitement si l’on admet que le soleil s’approche progressivement de l’endroit d’observation, avant de s’éloigner pour disparaître à l’horizon. C’est un simple effet de perspective dont rend compte le modèle de la Terre plate, avec un soleil tournant autour du disque terrestre. Qui plus est, on peut constater que lors du coucher, la lumière du soleil ne s’étend pas à tout l’horizon de manière uniforme, mais se contracte petit à petit autour du disque solaire avant sa disparition. Et ceci n’est pas compatible avec un soleil censé arroser continuellement la moitié d’une boule tournante.

D’autre part, les écarts de température simultanés sur la Terre, à quelques milliers de kilomètres seulement (par exemple une chaleur étouffante en Afrique, par contraste à un froid glacial en Antarctique) rendent complètement absurde la thèse qui voudrait que la source de chaleur se situerait à des dizaines de millions de kilomètres de là. Ces écarts sont trop importants pour être expliqués par le modèle héliocentrique classique. Et enfin, on ne peut pas occulter que même des endroits situés à la même latitude connaissent un comportement différent du soleil, selon qu’ils soient au nord ou au sud de l’équateur (longueur des jours d’hiver ou d’été, aubes et crépuscules différents, disparités flagrantes du nombre d’espèces végétales et animales, etc.). Tous ces phénomènes sont évidemment bien expliqués dans le modèle de la Terre plate avec un soleil changeant de tropique tous les 6 mois.

terre plate depuis l'espace
La terre plate depuis l’espace en camera amateur (non fish-eye)

Objets volants

6. Si la Terre était réellement un globe, les avions en vol devraient constamment plonger leur nez pour ne pas trop s’éloigner et risquer de sortir de l’atmosphère. Ils devraient donc rectifier leur altitude toutes les minutes pour compenser l’effet de la courbure terrestre. En réalité, ils ne font jamais cela et se contentent d’un vol plat. D’autre part, et du fait de la rotation supposée de la Terre, les vols en direction de l’ouest devraient normalement atteindre leurs destinations beaucoup plus vite, étant donné que le globe terrestre est supposé tourner dans le sens contraire.

Et si l’on admet que l’atmosphère tourne également avec le globe à la même vitesse, alors les avions devraient voler à une vitesse supérieure à celle de la rotation de la Terre, qui est de l’ordre de 1700 km/h à l’équateur et environ 1100 km/h à Paris. Et même en admettant une telle possibilité pour les avions, qu’en est-il des nuages ou des oiseaux qui se dirigent vers l’ouest à des vitesses nettement inférieures ? Et dans tous les cas de figure, le simple atterrissage sur un objet aussi mouvant serait rendu complètement aléatoire, dans toutes les directions. Ce qui n’est évidemment pas ce qui est constaté.

terre plate vue du ciel
Photo givingnot@rocketmail.com (Creative Comons)

L’échec de l’expérience d’Airy

7. Au début du 18e siècle, la théorie de l’héliocentrisme était largement admise comme évidente, et il ne lui manquait que quelques démonstrations empiriques pour valider les résultats théoriques de Kepler et Newton. On attribue aujourd’hui à l’astronome britannique James Bradley d’avoir fourni la confirmation expérimentale recherchée. Pour cela il lui fallait prouver le déplacement de la Terre par rapport aux étoiles, en étudiant la parallaxe d’une étoile proche, sur fond d’étoiles lointaines supposées rester fixes. Or, les résultats des observations ne correspondaient pas à ce qui était attendu, puisque l’ensemble des étoiles semblait s’être déplacé avec l’étoile étudiée. Pour lever cette difficulté, Bradley eut recours au phénomène d’aberration de la lumière (dû au fait du déplacement supposé du télescope avec le mouvement de la Terre) et lui attribua la cause de l’écart constaté dans la position apparente de l’étoile.

Comme l’angle de l’aberration dépend aussi de la vitesse de la lumière, l’astronome britannique Airy reprend en 1871 une idée de Boscovitch, consistant à faire diminuer la vitesse de la lumière afin de noter le changement dans la valeur de l’aberration. Pour cela, il suffisait de remplir d’eau un télescope, de sorte que les rayons de lumière stellaire soient ralentis dans leur traversée du liquide. Et la surprise fut que toutes les observations d’Airy ont abouti à la même valeur de l’aberration, ce qui autorise à conclure que le télescope ne pouvait pas être considéré en déplacement. Autrement dit, le mouvement apparent des étoiles n’est pas dû au prétendu déplacement orbital de La Terre autour du soleil, mais bien des étoiles elles-mêmes (soleil y compris) autour de la Terre

L’éther, bouc émissaire (Expérience de Michelson & Morley)

8. Pour dépasser « l’échec de l’expérience d’Airy » et sauver le modèle héliocentrique, le physicien Fresnel proposa, en guise d’interprétation, un effet d’entraînement de l’éther, substance qui était considérée jusqu’alors comme constituant le milieu où se propageait la lumière. Mais comme personne ne savait exactement en quoi consistait cet éther, ni même s’il existait, les physiciens américains Michelson et Morley menèrent leur célèbre expérience en 1887, reprise maintes fois par la suite, afin de démontrer l’existence de cet éther et, par ricochet, valider le modèle héliocentrique.

L’expérience consistait à mesurer la vitesse de la lumière sur deux trajets égaux, mais perpendiculaires, de sorte que si la Terre était immobile par rapport à l’éther, on obtiendrait des valeurs similaires, mais si la Terre se déplaçait (disons dans le sens de l’un des deux trajets de l’expérience), alors sa vitesse s’ajouterait à celle de la lumière et il serait donc possible de déceler cette variation. Il se trouve que le résultat fut négatif et les deux vitesses mesurées par ce dispositif restaient égales, sachant que l’expérience a été refaite de nombreuses fois, dans différents endroits et différentes directions, jusqu’à aujourd’hui même, et toujours avec le même résultat.

Malgré cela, au lieu d’opter pour l’hypothèse la plus simple, à savoir le modèle géocentrique, les scientifiques de l’époque (avec Einstein à leur tête) ont déployé des trésors de complexité pour sauver le modèle héliocentrique, en commençant par rejeter l’éther, imposer à la vitesse de la lumière de ne pas s’additionner à d’autres vitesses, inventer la théorie de la relativité, etc.

Explication de la gravité

9. Le modèle de la Terre sphérique en rotation s’appuie sur la notion physique de gravité. C’est pourtant l’un des concepts les plus ambigus de la science moderne, car il ne repose que sur une supposée force d’attraction existant entre les objets (dans la théorie de Newton) ou sur une prétendue courbure de l’espace au voisinage des corps massifs (dans la théorie d’Einstein) et des tonnes de calculs hyper compliqués. Certains ont même émis l’hypothèse de l’existence de particules nommées « gravitons » qui seraient à l’origine de cette force, sans pouvoir à ce jour en apporter la moindre confirmation expérimentale. Sans parler de théories aussi farfelues que la gravité entropique, qui serait un simple phénomène découlant de manière probabiliste des minuscules parties d’un objet.

Dans le modèle de la Terre plate, tel que développé par la Flat Earth Society par exemple, la pesanteur des corps est simplement due à l’accélération « vers le haut » du disque terrestre. Ainsi, ce qu’on appelle « chute libre » dans le modèle globiste, n’est rien d’autre que le déplacement « vertical » de la Terre vers les objets en inertie. Ce n’est pas la pomme qui est tombée sur Newton, c’est le disque terrestre avec Newton dessus qui sont allés à la rencontre de la pomme détachée de l’arbre.

newton
La gravité, ce bouc-émissaire imaginaire

L’Antarctique

10.. Ce qui est appelé « Antarctique » dans le modèle globiste serait un continent de glace situé au pôle du sud, ayant des côtes dont la longueur totale varie entre 18.000 km et 32.000 km, selon les sources (autant dire du simple au double). Pourtant, d’anciens explorateurs tels que Cooke ou Ross rapportent avoir passé plusieurs mois avant d’en faire le tour, estimé à environ quelque 100.000 km. Jusqu’à aujourd’hui, l’Antarctique reste mal connu, et seul quelques gouvernements s’arrogent le droit d’y effectuer on ne sait trop quelles expériences, loin du reste des humains qui n’y ont pas accès.

Bien plus, des vols d’avions dont les trajets seraient énormément raccourcis, au cas où la planète serait ronde, s’ils passaient au-dessus de l’Antarctique, par exemple entre Sydney (Australie) et Santiago (Chili), font de curieux détours avec des escales à Los Angeles et autres aéroports d’Amérique du Nord ! Ceci ne peut être compréhensible que sur une terre plate. Quiconque regarde la carte plane de la Terre plate saura que le centre du disque terrestre est occupé par ce qui est appelé « pôle Nord », autour duquel se déploient les différents continents et océans, tandis que ce qui est appelé « Antarctique » n’est autre qu’une très large muraille de glaces entourant le disque terrestre.

Seul ce modèle permet d’ailleurs d’expliquer les écarts gigantesques de température entre le « pôle Nord » et le « pôle Sud », alors qu’ils sont supposés avoir des températures plus ou moins similaires. En effet, si la température moyenne du premier tourne autour de -15°C, celle du second avoisine -50°C, sachant qu’elle peut atteindre en hiver des records en dessous des – 80°C !

antartic
L’inaccessible Antarctique
– Photo Guillermo Avalos (Creative Commons)

Photo Joanna Vaughan (Creative Commons)







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13 Responses

  1. staline mai 17th, 2018

    bien d’accord

    Répondre
    • Abyss l'anti complotiste juin 4th, 2018

      Inepties totales et non fondées.
      Il n’y a aucune preuve de ce qu’ils avancent alors qu’il y a beaucoup plus de preuve que la Terre est ronde.
      De plus, tout les arguments soulevés sur cette page peuvent être contré.
      Exemple : Ross et Cooke on fait le tour de l’antarctique en quelques mois ce qui amène a estimer a 100 000 km la circonférence de l’antarctique…on rappelle juste que ce sont des explorateurs du 19é. La pollution était bien moindre et les banquises du pole nord et du pole sud étaient bien plus étendues qu’aujourd’hui.
      Pour croire a ce genre de théorie fumeuse il faut avoir 2 de QI.
      De plus, Mars est ronde, le Soleil est rond, les autres planètes sont ronde même les gazeuse….mais la Terre serait donc plate? Comme par hasard! Ils accordent du crédit aux astronomes et a la NASA quand ça les arrange

      Répondre
      • John juillet 21st, 2018

        Putain. Votre commentaire est tellement…exact. Rien à dire

        Répondre
  2. Anonyme juillet 30th, 2018

    Hilarant !!!

    Répondre
    • banana mars 15th, 2019

      pourquoi

      Répondre
  3. Tillbo août 7th, 2018

    Franchement, tu me fais rire : tes arguments se démontrent avec une facilité déconcertante, et je vais te le prouver (ce que tu ne fais avec aucun de tes arguments) :

    1 :
    Prend un peu de recul… La Terre fait (ou feraient, selon ta théorie fumeuse…) 12 742 km… Ce n’est pas en restant à une altitude si basse avec si peu de recul que l’on peut voir la courbure… Par contre, du haut de l’Everest… Ah, bah, on la voit ! Miracle !

    2 : Déjà, l’horizon se lève, ça ne veut rien dire… Ensuite, le fait qu’il soit à hauteur d’yeux s’explique bien facilement : l’un des seuls endroits où l’on peut voir l’horizon sans qu’il soit masqué par des arbres, des collines, des montagnes ou autre est au bord d’une grande étendue d’eau comme un océan, une mer… à altitude 0 !
    Ensuite, comme pour le 1, prends du recul… En haut de l’Everest, on doit baisser le regard pour voir l’horizon…

    3 : Tu ne prends pas en compte la gravité… La gravité fait que la surface des océans est une sphère parfaite (au repos parfait, bien entendu)… Si je pouvais dessiner ici, je ferais un schéma, mais on ne peux pas… En bref, chaque molécule d’eau est attirée vers le centre de la Terre en forme sphérique, donc lui donne une forme aussi sphérique. CQFD

    4 : Refais les calculs trigonométriques, ça ne marche pas… Et tu te rends compte de ce que c’est, 12 742 km ???? Je ne crois pas…

    5 : Le premier argument de la courbure des rayons su soleil se démonte simplement car les rayons sont réfractés (programme de seconde…) par un tas de chose : changement de température, nuages, atmosphère…
    Le deuxième argument de la modification de la taille du soleil dans notre vision est faux : prends juste des lunettes pour éclipse. Tu est juste ébloui, il y a une « auréole » autour du soleil qui fait qu’on a l’impression qu’il est plus petit à midi…
    Enfin, les écarts de température sont dus à la composition des sols, à l’eau, à la faune, la flore, L’INCLINAISON DE LA TERRE…

    6 : Pour démonter le premier argument, je dirais simplement… gravité. Elle se charge elle même de faire pencher le nez à l’avion.
    Le deuxième argument est faux, juste car la Terre nous entraine dans son mouvement… Met toi sur un tapis roulant, saute, et tu avancera quand même, car le tapis t’a donné une force (ref Newton) que tu conserve (re ref Newton et… attends, l’INERTIE… programme de seconde.) Donc, pour aller à l’ouest ou à l’est, ça ne change rien, car tu as le même mouvement que la Terre.
    Les fusées qui doivent se mettre en orbite ont, elles, ce problème à cause de l’altitude : la force d’attraction de la Terre n’est plus suffisante pour entrainer la fusée : ainsi, si une fusée décolle à la verticale, sans tourner, elle se décalera vers l’ouest.

    7 : Les étoiles tournent autour du centre de la galaxie… Simplement.

    8 : Le 8 se servant du 7 pour être vrai, bah, il est faux.

    9 : Alors, pourquoi la Terre irai vers le haut ? Tu ne sais pas ? Bah, c’est la même chose pour la gravité. Et, Einstein à démontré (avec l’expérience de pensée de la cabine dans l’espace, tu iras voir), que, oui, il y a une force d’accélération qui nous attire au centre de la Terre.
    Et, le fait que des choses reposent sur des « calculs hyper compliqués » ne prouvent rien : si l’univers se résolvait simplement grâce à 1+1=2, on aurais déjà tout compris, et on manipulerais tout.

    10 : Premièrement, tes sources sur la longueur des côtes : elles datent de quand, de 1515 ? Ensuite, on peut compter en fonction de la banquise (de la glace) ou du continent (de la roche, la terre etc), donc ça change.
    Et, si ta source pour la première valeur est un forum où tu as été le deuxième visiteur après son créateur, et pour la deuxième un site de pranks, bah, ça ne vaut rien.
    Ensuite, les expériences menées en Antarctique sont publiques, tu peux les voir si tu veux, et, rien ne t’empêche de prendre un bateau et d’y aller, en Antarctique.
    Et ton argument des avions ne marche pas : c’est simplement car l’installation et l’entretient de radars en Antarctique coûterait plus cher que les escales. Ors, on doit à tout moment savoir où se trouve un avion, pour limiter les risques de perte ou autre… Personnellement, je refuserais de monter dans un avion en sachant que à un moment, personne ne sait où l’on est.
    Enfin, ton dernier argument sur les écarts de température ne tient pas la route : 1) Pourquoi les températures devraient être similaires à 12 742 km ? Ensuite, le trou dans la couche d’ozone, le réchauffement climatique, ça te parle ? Il touche majoritairement le pôle nord, si tu veux savoir.

    Et, j’ai encore d’autres arguments pour la terre ronde :
    _L’Expérience d’Ératosthène (tu iras chercher sur Google et tu la feras)
    _Les bateaux s' »enfoncent » progressivement dans l’horizon. Si la terre était plate, on les verrait tomber d’un coup, ou même jamais tomber.
    _Comment explique tu que l’on ne voie pas le « Mur de Glace » alors que l’on voit les étoiles à des milliards d’années lumières ?
    _Fais les calculs de rotation des planètes avec le modèle géocentrique, puis avec le modèle héliocentrique. Le modèle héliocentrique seul donne quelque chose de cohérent.
    _Pourquoi les constellations sont différentes de l’hémisphère nord à l’hémisphère sud ?
    _quand il fait jour en France, il fait nuit en Amérique (souvent). Tu veux faire l’expérience ? Appelle quelqu’un en face time qui se trouve à l’autre bout du monde.
    _Encore des dizaines, des centaines d’arguments, mais j’écris un commentaire, pas un article.

    Répondre
    • Matthias février 6th, 2019

      Ouf! bel effort, Tillbo!
      J’y ajouterais mes arguments, tout aussi foudroyants (même plus dans certains cas), mais est-ce que ça en vaudrait la peine? C’est incroyable de penser que des gens soient si peu conscients des contradictions de ce discours! Ne pas tout savoir de la science, ok, mes de voir que l’auteur dit une chose et son contraire comme au point 6:
      « Et si l’on admet que l’atmosphère tourne également avec le globe à la même vitesse, alors les avions devraient voler à une vitesse supérieure à celle de la rotation de la Terre ».
      Ben non, justement, si les avions volent dans l’atmosphère, qui tourne à la même vitesse que la Terre, ils volent donc à la même vitesse que la Terre…
      Pitoyable, l’auteur ne comprend même pas ce qu’il ou elle dit.

      Répondre
  4. ZALE août 10th, 2018

    MARS N’EXISTE QUE DANS LA TÊTE ET LES INSTRUMENTS DE CEUX QUI TRAVAILLENT A LA NASA. SI LA LUNE QUI EST PLUS PROCHE N’EST PAS ACCESSIBLE COMMENT LE SERAIT QUI EST A DES CENTAINES DE MILLIERS DE KILOMÉTRÉS. CROIRE A DE TELLES MENSONGES C’EST VRAIMENT FAIRE PREUVE D’UN MANQUE DE FOI NOTOIRE. QUI PLUS EST LORSQUE QU’ON A UN QI INFÉRIEURE A 2. LE RÉCIT DE LA CRÉATION EST BIEN PRÉCIS. LE CRÉATEUR DE NOTRE TERRE L’A VOULU AINSI ET ON VOUDRAIT CHANGER LES CHOSES ?
    QUE LA TERRE NE SOIT PAS PLATE ET CELA LES CONFORTERAIENT DANS LEUR CULTURE DU MENSONGE. MAIS QU’ELLE SOIT PLATE METTRAIT A NU TOUTE LA FOLIE HUMAINE D’OÙ TOUS LES EFFORTS MIS EN EOUVRE POUR NOUS VENDRE L’IDÉE D’UNE VIE EXTRA TERRESTRE.

    Répondre
  5. decomplot février 1st, 2019

    tro dacor;

    Répondre
  6. jojo février 4th, 2019

    je suis totalement d accord

    Répondre
  7. Magister février 28th, 2019

    Je trouve ça vraiment triste qu’on bousille le travail d’un certain Galilée qui se sera tué pour prouver que la terre plate est bel et bien ronde. Je ne comprends pas comment on peut penser ça alors que des scientifiques, des personnes, sont mortes pour prouver cette théorie. Et Magellan? Ce ne sont que des histoires qu’on nous a inventée pour nous manipuler? Alors que ce mec est mort pour prouver sa théorie de la terre ronde, mort par idéal, mort tué aux Philippines. Et vous croyez qu’on nous ment? Que c’est n’importe quoi? Désolé, d’habitude je suis très tolérant mais là je trouve ça tellement triste qu’on puisse salir la mémoire d’Hommes de valeur que je vois rouge. Pourquoi? Vous savez que le principe de la terre plate, c’était justement la manipulation du clergé de l’époque? Alors, qu’est-ce qui vous dit que la personne qui a répandu cette idée n’essaie pas de manipuler les gens? Franchement, j’espère juste que Galilée ne se retourne pas dans sa tombe. Merci.

    Répondre
  8. Anonyme mars 15th, 2019

    javous elle é plate

    Répondre
  9. Alec mai 19th, 2019

    Merci

    Répondre

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